Chers
lecteurs,
Les
effets secondaires liés à la vaccination ARNm anti-Covid-19
représentent un enjeu sanitaire majeur. C’est simple, les quelques
chiffres révélés ici ou là, pourtant sous-estimés, sont affolants.
Pour
s’en convaincre, il suffit de s'intéresser au travail de Jessica Rose,
qui est biologiste et experte en analyse de données biomédicales. Elle
est docteur en biologie, titulaire d’un master en immunologie et
licenciée en mathématiques. Elle maîtrise les chiffres, sait ce qu’est l’immunité
et connaît le corps humain. Jessica Rose fait partie des scientifiques
mondiaux les plus crédibles pour livrer son expertise sur le sujet.
Elle est chercheuse au sein du Technion, un institut de recherche
biomédicale à Jérusalem. (1,2)
Or,
pour Jessica Rose, les données officielles montrent que les injections
ARN auront été plus nocives que le virus SARS CoV2 lui-même. Elle
rappelle par ailleurs que les données officielles devraient en
elles-mêmes susciter l’arrêt immédiat des injections ARN. (1,2)
En
France, ce constat a été également posé par le Conseil scientifique
indépendant, qui réunit des experts de différentes disciplines. Ainsi,
une publication récente de l’équipe du CSI rappelle que les myocardites
post vaccinales sont plus graves que ce que les médias annoncent. Ces
chercheurs citent, par exemple, les chiffres suivants : (3)
- 25 % des patients ayant
subi une myocardite post-vaccinales ont été hospitalisés en
réanimation : ce sont des hospitalisations graves ;
- 16,5 % des patients
n’étaient pas guéris au bout de 90 jours ;
- Environ 50 % des patients
présentaient des IRM anormales ;
- 25 % des patients
considérés « guéris » étaient encore sous traitement médicamenteux.
Une
fois de plus, le constat du terrain n’est pas exactement celui qui
apparaît dans les statistiques officielles. Si un quart des
« guéris » sont encore traités, c’est qu’ils ne sont pas
guéris.
Cela
paraît évident. Mais le travail des scientifiques indépendants depuis
la crise de la Covid 19 consiste parfois à relever les évidences et à
les partager au public.
La
situation aux Etats-Unis
La
biologiste Jessica Rose analyse depuis longtemps le système de
pharmacovigilance américain, qui s’appelle le VAERS (Vaccine adverse
effects reporting system). (4)
Elle
explique, à partir de ces données officielles américaines, que le
nombre d’effets secondaires liés à la vaccination est resté stable pendant 30 ans autour de
39 000 effets secondaires par an pour l’ensemble des
vaccins administrés. (2,5,6)
Toutefois,
au 6 mai 2022, on
comptait 1 261 147 effets secondaires rapportés dans la
base de données officielle dont (1) :
- 27 968 décès ;
- 155 633 hospitalisations ;
- 51 996 cas de handicap.
En
novembre 2022, 1,4 millions d’effets secondaires étaient répertoriés. (1,2,6)
Jessica
Rose explique, par ailleurs, que des travaux publiés par une équipe de
l’université de Harvard estiment que seuls 1% des effets secondaires seraient
comptabilisés dans le VAERS. Si cette hypothèse était
vraie, il y aurait eu aux Etats-Unis plus de 100 millions d’effets
secondaires indésirables !
Ce
sont des chiffres très inquiétants. Néanmoins, même si l’on s’en tient
aux chiffres retenus par le VAERS, la situation est troublante. Jamais
dans l’histoire de la pharmacovigilance de tels chiffres n’avaient été
publiés. Pourtant, les injections ARNm n’ont pas été interdites, ce qui
dans le passé ou pour tout autre traitement aurait probablement été le
cas.
La
situation en Europe
Ce qui
se passe aux Etats-Unis se trouve confirmé ailleurs, et notamment en
Europe où les données de la pharmacovigilance sont réunies dans le
système EudraVigilance. (6)
Sur
cette base de données, au 11 septembre 2021, liés aux injections ARN.
Cela
inclut (1,2) :
- 24 526 décès ;
- 214 847 troubles
gastro-intestinaux ;
- 60 786 problèmes
vasculaires ;
- 44 615 problèmes sanguins
et lymphatiques ;
- 442 717 troubles du
système nerveux ;
- 2214 problèmes lors de la
grossesse.
Depuis
le lancement du programme de vaccination, de nombreux athlètes,
adolescents, enfants et adultes ont été victimes d’un syndrome de mort
subite. De nombreux athlètes sont décédés sur le terrain simplement
quelques jours après leur injection. Même si le lien de cause à effet
n’est pas souvent admis officiellement, ces décès de plus en plus
fréquents sont troublants chez des personnes jeunes et en bonne santé
apparente.
A ces
chiffres, il faut ajouter une remarque. On sait que tous les effets
secondaires ne sont pas remontés par la pharmacovigilance. En France,
par exemple, seuls 10% des effet secondaires seraient remontés !
(3,4) Selon le Conseil scientifique indépendant, lorsque l’on prend en
compte cette remarque on obtient deux chiffres particulièrement
inquiétants. Il y aurait un effet indésirable grave, toutes les 100
injection et un décès toutes les milles injections. Comment, dans ces
conditions, peut-on encore maintenir les injections ARNm contre la
Covid 19 ? (3,4,7,8)
Deux
questions en suspens…
Cet
état de fait soulève deux grandes questions. L’une est politique et
l’autre médicale. On se demande, compte tenu de l’ampleur du phénomène,
pourquoi les mondes politique ou médiatique restent muets sur le sujet.
La réponse à ce jour n’est pas très claire. Sont-ils sous influence des
fabricants de vaccins ? Est-ce la peur de la réaction du public ?
Est-ce la crainte d’avoir à faire face à leurs propres responsabilités
?
La
vérité sur la dangerosité de ces thérapies géniques commence à faire
son chemin, notamment aux Etats-Unis où la justice, lors de procès
intentés par des victimes, a demandé à ce que soient révélés certains
documents internes des fabricants comme Pfizer. Ces documents montrent à minima
le manque d’efficacité des injections ARN, ce qui est
du reste confirmé par les études de terrain. (9,10)
Pour
de nombreux scientifiques, cependant, l’urgence est surtout de répondre
à la deuxième question : comment
peut-on réparer les dégâts causés par ces vaccins ? Et
pour y répondre, un certain nombre d’entre eux veulent d’abord
comprendre ce qui se passe dans le corps avec les injections ARN.
Toujours
selon Jessica Rose, un des problèmes des thérapeutes est que, à part
les fabricants, personne
ne connaît le contenu précis des fioles des vaccins.
Nul ne sait quel a été le contenu exact injecté aux patients, ni même
si tous les patients ont reçu les mêmes doses. Il semblerait par
ailleurs que les lots de vaccins n’aient pas été les même pour tout le
monde, leur fabrication n’étant pas suffisamment standardisée et
rigoureuse ! (2,4)
En
France, Alain Fischer, “Monsieur Vaccin” du gouvernement à l’époque,
avait du reste confirmé que les autorités françaises ne disposaient pas
des données concernant ces produits. Seuls les communiqués de presse
des grands laboratoires leur avaient été communiqués. C’était toutefois
suffisant à ses yeux pour lancer une campagne massive d’injection ARNm.
(11)
La
protéine spike mise en cause
Les
scientifiques ont cherché parmi les ingrédients officiellement présents
dans les vaccins, ceux qui pouvaient poser problème. Certains estiment
que les lipides utilisés dans les injections pourraient causer des
allergies. Mais ce n’est pas le plus important. Ils s’inquiètent
surtout du rôle que pourraient jouer une protéine appelée “spike” que
l’on retrouve dans tous les variants du SARS CoV 2. Les injections ARNm
ont un effet particulier sur le corps humain. Ils poussent ce dernier à
fabriquer des spike de manière plus ou moins contrôlée ! Personne
ne semble savoir cependant combien de temps dure le phénomène, ce qui le
rend difficile à évaluer. (12,13). Et surtout, la quantité de protéine
spike et la durée pendant laquelle nos cellules vont synthétiser cette
protéine sont très variables d’un individu à un autre. D’après Jessica
Rose, cette protéine pourrait être impliquée dans la formation de
lésions internes qui seraient la cause des troubles cardiaques et des myocardites.
Pour
d’autres scientifiques, le problème pourrait venir non de la spike mais
de l’ARNm lui-même qui ne reste pas dans le muscle injecté. C’est du reste
cette mobilité de l’ARNm qui permet d’ordonner la production de la
protéine spike. (14) D’après Stéphanie Seneff, scientifique au MIT et
l’oncologue Greg Nigh, les injections ARN contre le SARS CoV 2 perturbent le système
immunitaire. Ils constatent par ailleurs une
accélération de la dégradation des patients atteints de maladie
neurodégénérative. L’inflammation du cerveau causée par la protéine
spike semble délétère. (15,16)
Pour
de nombreux chercheurs, il semble donc que les stratégies
thérapeutiques prioritaires à envisager contre les effets de la Covid
longue ou des vaccins ARN seraient de chercher à neutraliser les effets
de la protéine spike. Il existe différentes manières d’agir en ce sens.
En voici quatre qui suscitent l’intérêt de plus en plus de
scientifiques. (17)
1/
NAC ou N-acétylcystéine : le grand facilitateur
La
N-acétylcystéine (NAC) a été découverte en 1899. C’est une molécule qui
n’existe pas à l’état naturel. Elle doit être fabriquée en laboratoire.
Elle est dérivée d’un acide aminé soufré essentiel pour la santé, la
cystéine. Très vite, on lui a découvert de nombreuses vertus
thérapeutiques. On la trouve dans la composition de nombreux
médicaments ainsi qu’en complément alimentaire. (17,18)
L’intérêt
de la NAC est sa capacité à faciliter un grand nombre de réactions
métaboliques de votre corps, ce qui explique le large
éventail de ses bienfaits. Votre organisme transforme la NAC en
cystéine, un acide aminé non essentiel qu’il peut aussi synthétiser. La cystéine joue un rôle
important dans la production d’acides gras, d’hormones et du glutathion.
Or, ce dernier est l’un des antioxydants les plus puissants de
l’organisme. (17,18)
La NAC
permet ainsi à votre corps de maintenir ses niveaux de glutathion dans
les cellules. Cela lui permet de réduire le stress oxydatif et de
détoxifier votre organisme. Cette action se fait au niveau cellulaire. L’augmentation du glutathion
détoxifie les cellules et facilite l’élimination de certains métaux
lourds comme le plomb et de molécules chimiques toxiques
comme le paracétamol ou les pesticides. L’action détoxifiante de la NAC
bénéficie au foie qui est ainsi protégé des polluants environnementaux
et de l’alcool.
Par
ailleurs, la NAC décompose le mucus présent dans les poumons, ce qui
améliore la respiration. Elle est utile pour les maladies respiratoires
comme la bronchopneumopathie, l’asthme ou la Covid 19, notamment la
Covid 19 longue. La NAC pourrait également prévenir la sinusite et la
grippe. (17,18)
2/
Glutathion : un antiviral puissant qui fonctionne aussi contre la
Covid 19
Dès
mai 2020, une étude montrait qu’une carence en glutathion chez les patients atteints
par la Covid 19 avait des conséquences graves,
notamment au niveau des poumons dont les dommages s’aggravaient.
(19,20)
En
clair, les patients qui manquaient de glutathion risquaient de voir la
maladie dégénérer rapidement. Ils se trouvaient, en effet, avec un
syndrome de détresse respiratoire aiguë. À l’inverse, lorsque le niveau de glutathion
cellulaire est élevé chez les patients atteints par la Covid 19 leurs
symptômes sont plus légers et leur charge virale est
plus faible.
Le
glutathion était déjà connu pour son effet antiviral non spécifique. Il
semble désormais acquis que cette propriété joue à plein contre le SARS
CoV 2. (21,22)
3/
Inhibiteurs et neutraliseurs de la protéine spike
Un
groupe de médecins du monde entier réuni dans un collectif appelé le
Conseil mondial pour la santé (World
Council for Health) a publié un petit guide de détox pour
les patients qui souffrent des effets de la protéine spike. Ces
substances peuvent être classées en deux grandes catégories : les
neutraliseurs ou les inhibiteurs de la protéine spike. (23,24)
Les
inhibiteurs de la protéine spike sont :
1/
La brunelle (Prunella vulgaris) ou petite consoude est une
plante destinée à nettoyer les plaies. Elle est aussi antivirale et
renforcerait le système immunitaire. Elle peut se consommer en tisane,
et vous pouvez également faire des gargarismes avec de la brunelle pour
les maux de gorge. (25)
2/
Les aiguilles de pin sont l’un des premiers remèdes
naturels à avoir été mis en avant contre la Covid 19. Là aussi ce sont
ses propriétés antiseptiques et immunostimulantes qui ont intéressé les
thérapeutes. (26)
3/
l'ivermectine : cette molécule utilisée contre la gale a
très vite été adoptée par des médecins dans le monde entier. (27,28)
4/
le neem ou margousier (Azadirachta indica) est une plante
utilisée en médecine ayurvédique pour soigner de nombreux maux. Il est
notamment connu pour ses vertus antivirales, antibactériennes et
antiparasitaires. (29)
5/
le pissenlit : c’est l’extrait de feuille de pissenlit
qui a été étudiée en Allemagne. Les chercheurs ont découvert que cette
plante était efficace contre la Covid 19. Ils la suspectent d’agir sur
l’activité de la protéine spike. (30)
Les
neutraliseurs de la protéine spike :
Parmi
les substances qui viennent bloquer l’action de la protéine spike et
citée par le WHC on retrouve certaines molécules déjà citées comme la
NAC, le glutathion, la vitamine C, la tisane ou l’huile essentielle
d’aiguilles de pin. À ces remèdes s’ajoutent les feuilles de consoude (Symphytum), l’anis
étoilé et le millepertuis. (22)
4/
Le jeûne qui permet l’autophagie
L’autophagie
est l’autodestruction par le corps des cellules mortes ou malades. Ce
phénomène permettrait de lutter efficacement contre le SARS CoV 2. (31)
L’une
des meilleures manières de provoquer l’autophagie est de pratiquer le
jeûne. (32) Les cure de détox peuvent également avoir un effet
similaire. (33)
Le
jeûne ou la détox agissent en profondeur sur les équilibres du corps.
Ces solutions de santé favorisent l'homéostasie du système immunitaire
c’est-à-dire son bon équilibre cellulaire. (33)
Par
ailleurs, le jeûne agit sur la santé mitochondriale, c’est-à-dire le
fonctionnement interne des cellules qui se mettent à être plus
efficaces. Elles redeviennent vivantes tandis que celles qui
dysfonctionnent sont remplacées par de nouvelles cellules. Ainsi, le
jeûne pousse le corps à produire de nouvelles cellules ce qui met à
contribution les cellules souches. (33)
Il
existe d’autres pistes pour lutter contre les effets délétères des
injections ARNm, même si je n’en n’ai abordé qu’une partie ici.
Affaire
à suivre !
Jérôme
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