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dimanche, avril 30, 2023

Lisez bien cet article il démontre comment nettoyer son corps de la protéine Spike contenu dans les vaccins.....

 


Fondation Hippocrate

Primum non nocere

Chers lecteurs,

Les effets secondaires liés à la vaccination ARNm anti-Covid-19 représentent un enjeu sanitaire majeur. C’est simple, les quelques chiffres révélés ici ou là, pourtant sous-estimés, sont affolants.

Pour s’en convaincre, il suffit de s'intéresser au travail de Jessica Rose, qui est biologiste et experte en analyse de données biomédicales. Elle est docteur en biologie, titulaire d’un master en immunologie et licenciée en mathématiques. Elle maîtrise les chiffres, sait ce qu’est l’immunité et connaît le corps humain. Jessica Rose fait partie des scientifiques mondiaux les plus crédibles pour livrer son expertise sur le sujet. Elle est chercheuse au sein du Technion, un institut de recherche biomédicale à Jérusalem. (1,2)

Or, pour Jessica Rose, les données officielles montrent que les injections ARN auront été plus nocives que le virus SARS CoV2 lui-même. Elle rappelle par ailleurs que les données officielles devraient en elles-mêmes susciter l’arrêt immédiat des injections ARN. (1,2)

En France, ce constat a été également posé par le Conseil scientifique indépendant, qui réunit des experts de différentes disciplines. Ainsi, une publication récente de l’équipe du CSI rappelle que les myocardites post vaccinales sont plus graves que ce que les médias annoncent. Ces chercheurs citent, par exemple, les chiffres suivants : (3)

- 25 % des patients ayant subi une myocardite post-vaccinales ont été hospitalisés en réanimation : ce sont des hospitalisations graves ;

- 16,5 % des patients n’étaient pas guéris au bout de 90 jours ;

- Environ 50 % des patients présentaient des IRM anormales ;

- 25 % des patients considérés « guéris » étaient encore sous traitement médicamenteux.

Une fois de plus, le constat du terrain n’est pas exactement celui qui apparaît dans les statistiques officielles. Si un quart des « guéris » sont encore traités, c’est qu’ils ne sont pas guéris.

Cela paraît évident. Mais le travail des scientifiques indépendants depuis la crise de la Covid 19 consiste parfois à relever les évidences et à les partager au public.

La situation aux Etats-Unis

La biologiste Jessica Rose analyse depuis longtemps le système de pharmacovigilance américain, qui s’appelle le VAERS (Vaccine adverse effects reporting system). (4)

Elle explique, à partir de ces données officielles américaines, que le nombre d’effets secondaires liés à la vaccination est resté stable pendant 30 ans autour de 39 000 effets secondaires par an pour l’ensemble des vaccins administrés. (2,5,6)

Toutefois, au 6 mai 2022, on comptait 1 261 147 effets secondaires rapportés dans la base de données officielle dont (1) :

- 27 968 décès ;

- 155 633 hospitalisations ;

- 51 996 cas de handicap.

En novembre 2022, 1,4 millions d’effets secondaires étaient répertoriés. (1,2,6) 

Jessica Rose explique, par ailleurs, que des travaux publiés par une équipe de l’université de Harvard estiment que seuls 1% des effets secondaires seraient comptabilisés dans le VAERS. Si cette hypothèse était vraie, il y aurait eu aux Etats-Unis plus de 100 millions d’effets secondaires indésirables !

Ce sont des chiffres très inquiétants. Néanmoins, même si l’on s’en tient aux chiffres retenus par le VAERS, la situation est troublante. Jamais dans l’histoire de la pharmacovigilance de tels chiffres n’avaient été publiés. Pourtant, les injections ARNm n’ont pas été interdites, ce qui dans le passé ou pour tout autre traitement aurait probablement été le cas.

La situation en Europe

Ce qui se passe aux Etats-Unis se trouve confirmé ailleurs, et notamment en Europe où les données de la pharmacovigilance sont réunies dans le système EudraVigilance. (6)

Sur cette base de données, au 11 septembre 2021, liés aux injections ARN.

Cela inclut (1,2) :

- 24 526 décès ;

- 214 847 troubles gastro-intestinaux ;

- 60 786 problèmes vasculaires ;

- 44 615 problèmes sanguins et lymphatiques ;

- 442 717 troubles du système nerveux ;

- 2214 problèmes lors de la grossesse.

Depuis le lancement du programme de vaccination, de nombreux athlètes, adolescents, enfants et adultes ont été victimes d’un syndrome de mort subite. De nombreux athlètes sont décédés sur le terrain simplement quelques jours après leur injection. Même si le lien de cause à effet n’est pas souvent admis officiellement, ces décès de plus en plus fréquents sont troublants chez des personnes jeunes et en bonne santé apparente.

A ces chiffres, il faut ajouter une remarque. On sait que tous les effets secondaires ne sont pas remontés par la pharmacovigilance. En France, par exemple, seuls 10% des effet secondaires seraient remontés ! (3,4) Selon le Conseil scientifique indépendant, lorsque l’on prend en compte cette remarque on obtient deux chiffres particulièrement inquiétants. Il y aurait un effet indésirable grave, toutes les 100 injection et un décès toutes les milles injections. Comment, dans ces conditions, peut-on encore maintenir les injections ARNm contre la Covid 19 ? (3,4,7,8)

Deux questions en suspens…

Cet état de fait soulève deux grandes questions. L’une est politique et l’autre médicale. On se demande, compte tenu de l’ampleur du phénomène, pourquoi les mondes politique ou médiatique restent muets sur le sujet. La réponse à ce jour n’est pas très claire. Sont-ils sous influence des fabricants de vaccins ? Est-ce la peur de la réaction du public ? Est-ce la crainte d’avoir à faire face à leurs propres responsabilités ?

La vérité sur la dangerosité de ces thérapies géniques commence à faire son chemin, notamment aux Etats-Unis où la justice, lors de procès intentés par des victimes, a demandé à ce que soient révélés certains documents internes des fabricants comme Pfizer. Ces documents montrent à minima le manque d’efficacité des injections ARN, ce qui est du reste confirmé par les études de terrain. (9,10)

Pour de nombreux scientifiques, cependant, l’urgence est surtout de répondre à la deuxième question : comment peut-on réparer les dégâts causés par ces vaccins ? Et pour y répondre, un certain nombre d’entre eux veulent d’abord comprendre ce qui se passe dans le corps avec les injections ARN. 

Toujours selon Jessica Rose, un des problèmes des thérapeutes est que, à part les fabricants, personne ne connaît le contenu précis des fioles des vaccins. Nul ne sait quel a été le contenu exact injecté aux patients, ni même si tous les patients ont reçu les mêmes doses. Il semblerait par ailleurs que les lots de vaccins n’aient pas été les même pour tout le monde, leur fabrication n’étant pas suffisamment standardisée et rigoureuse ! (2,4)

En France, Alain Fischer, “Monsieur Vaccin” du gouvernement à l’époque, avait du reste confirmé que les autorités françaises ne disposaient pas des données concernant ces produits. Seuls les communiqués de presse des grands laboratoires leur avaient été communiqués. C’était toutefois suffisant à ses yeux pour lancer une campagne massive d’injection ARNm. (11)

La protéine spike mise en cause

Les scientifiques ont cherché parmi les ingrédients officiellement présents dans les vaccins, ceux qui pouvaient poser problème. Certains estiment que les lipides utilisés dans les injections pourraient causer des allergies. Mais ce n’est pas le plus important. Ils s’inquiètent surtout du rôle que pourraient jouer une protéine appelée “spike” que l’on retrouve dans tous les variants du SARS CoV 2. Les injections ARNm ont un effet particulier sur le corps humain. Ils poussent ce dernier à fabriquer des spike de manière plus ou moins contrôlée ! Personne ne semble savoir cependant combien de temps dure le phénomène, ce qui le rend difficile à évaluer. (12,13). Et surtout, la quantité de protéine spike et la durée pendant laquelle nos cellules vont synthétiser cette protéine sont très variables d’un individu à un autre. D’après Jessica Rose, cette protéine pourrait être impliquée dans la formation de lésions internes qui seraient la cause des troubles cardiaques et des myocardites.

Pour d’autres scientifiques, le problème pourrait venir non de la spike mais de l’ARNm lui-même qui ne reste pas dans le muscle injecté. C’est du reste cette mobilité de l’ARNm qui permet d’ordonner la production de la protéine spike. (14) D’après Stéphanie Seneff, scientifique au MIT et l’oncologue Greg Nigh, les injections ARN contre le SARS CoV 2 perturbent le système immunitaire. Ils constatent par ailleurs une accélération de la dégradation des patients atteints de maladie neurodégénérative. L’inflammation du cerveau causée par la protéine spike semble délétère. (15,16)

Pour de nombreux chercheurs, il semble donc que les stratégies thérapeutiques prioritaires à envisager contre les effets de la Covid longue ou des vaccins ARN seraient de chercher à neutraliser les effets de la protéine spike. Il existe différentes manières d’agir en ce sens. En voici quatre qui suscitent l’intérêt de plus en plus de scientifiques. (17)

1/ NAC ou N-acétylcystéine : le grand facilitateur

La N-acétylcystéine (NAC) a été découverte en 1899. C’est une molécule qui n’existe pas à l’état naturel. Elle doit être fabriquée en laboratoire. Elle est dérivée d’un acide aminé soufré essentiel pour la santé, la cystéine. Très vite, on lui a découvert de nombreuses vertus thérapeutiques. On la trouve dans la composition de nombreux médicaments ainsi qu’en complément alimentaire. (17,18)

L’intérêt de la NAC est sa capacité à faciliter un grand nombre de réactions métaboliques de votre corps, ce qui explique le large éventail de ses bienfaits. Votre organisme transforme la NAC en cystéine, un acide aminé non essentiel qu’il peut aussi synthétiser. La cystéine joue un rôle important dans la production d’acides gras, d’hormones et du glutathion. Or, ce dernier est l’un des antioxydants les plus puissants de l’organisme. (17,18)

La NAC permet ainsi à votre corps de maintenir ses niveaux de glutathion dans les cellules. Cela lui permet de réduire le stress oxydatif et de détoxifier votre organisme. Cette action se fait au niveau cellulaire. L’augmentation du glutathion détoxifie les cellules et facilite l’élimination de certains métaux lourds comme le plomb et de molécules chimiques toxiques comme le paracétamol ou les pesticides. L’action détoxifiante de la NAC bénéficie au foie qui est ainsi protégé des polluants environnementaux et de l’alcool.

Par ailleurs, la NAC décompose le mucus présent dans les poumons, ce qui améliore la respiration. Elle est utile pour les maladies respiratoires comme la bronchopneumopathie, l’asthme ou la Covid 19, notamment la Covid 19 longue. La NAC pourrait également prévenir la sinusite et la grippe. (17,18)

2/ Glutathion : un antiviral puissant qui fonctionne aussi contre la Covid 19

Dès mai 2020, une étude montrait qu’une carence en glutathion chez les patients atteints par la Covid 19 avait des conséquences graves, notamment au niveau des poumons dont les dommages s’aggravaient. (19,20)

En clair, les patients qui manquaient de glutathion risquaient de voir la maladie dégénérer rapidement. Ils se trouvaient, en effet, avec un syndrome de détresse respiratoire aiguë. À l’inverse, lorsque le niveau de glutathion cellulaire est élevé chez les patients atteints par la Covid 19 leurs symptômes sont plus légers et leur charge virale est plus faible. 

Le glutathion était déjà connu pour son effet antiviral non spécifique. Il semble désormais acquis que cette propriété joue à plein contre le SARS CoV 2. (21,22)

3/ Inhibiteurs et neutraliseurs de la protéine spike

Un groupe de médecins du monde entier réuni dans un collectif appelé le Conseil mondial pour la santé (World Council for Health) a publié un petit guide de détox pour les patients qui souffrent des effets de la protéine spike. Ces substances peuvent être classées en deux grandes catégories : les neutraliseurs ou les inhibiteurs de la protéine spike. (23,24)

Les inhibiteurs de la protéine spike sont :

1/ La brunelle (Prunella vulgaris) ou petite consoude est une plante destinée à nettoyer les plaies. Elle est aussi antivirale et renforcerait le système immunitaire. Elle peut se consommer en tisane, et vous pouvez également faire des gargarismes avec de la brunelle pour les maux de gorge. (25)

2/ Les aiguilles de pin sont l’un des premiers remèdes naturels à avoir été mis en avant contre la Covid 19. Là aussi ce sont ses propriétés antiseptiques et immunostimulantes qui ont intéressé les thérapeutes. (26)

3/ l'ivermectine : cette molécule utilisée contre la gale a très vite été adoptée par des médecins dans le monde entier. (27,28)

4/ le neem ou margousier (Azadirachta indica) est une plante utilisée en médecine ayurvédique pour soigner de nombreux maux. Il est notamment connu pour ses vertus antivirales, antibactériennes et antiparasitaires. (29)

5/ le pissenlit : c’est l’extrait de feuille de pissenlit qui a été étudiée en Allemagne. Les chercheurs ont découvert que cette plante était efficace contre la Covid 19. Ils la suspectent d’agir sur l’activité de la protéine spike. (30)

Les neutraliseurs de la protéine spike :

Parmi les substances qui viennent bloquer l’action de la protéine spike et citée par le WHC on retrouve certaines molécules déjà citées comme la NAC, le glutathion, la vitamine C, la tisane ou l’huile essentielle d’aiguilles de pin. À ces remèdes s’ajoutent les feuilles de consoude (Symphytum), l’anis étoilé et le millepertuis. (22)

4/ Le jeûne qui permet l’autophagie

L’autophagie est l’autodestruction par le corps des cellules mortes ou malades. Ce phénomène permettrait de lutter efficacement contre le SARS CoV 2. (31)

L’une des meilleures manières de provoquer l’autophagie est de pratiquer le jeûne. (32) Les cure de détox peuvent également avoir un effet similaire. (33)

Le jeûne ou la détox agissent en profondeur sur les équilibres du corps. Ces solutions de santé favorisent l'homéostasie du système immunitaire c’est-à-dire son bon équilibre cellulaire. (33)

Par ailleurs, le jeûne agit sur la santé mitochondriale, c’est-à-dire le fonctionnement interne des cellules qui se mettent à être plus efficaces. Elles redeviennent vivantes tandis que celles qui dysfonctionnent sont remplacées par de nouvelles cellules. Ainsi, le jeûne pousse le corps à produire de nouvelles cellules ce qui met à contribution les cellules souches. (33)

Il existe d’autres pistes pour lutter contre les effets délétères des injections ARNm, même si je n’en n’ai abordé qu’une partie ici.

Affaire à suivre !

Jérôme